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Métamorphoser

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7 décembre 2010

Pleurer

Qu'est-ce que nous avons entre nous? Vous êtes si rude et vous me déchirer, comme du papier de verre à travers la soie. Je suis démêler et en lambeaux.

Tout ce que nous avons, c'est incroyable, brûlant, le sexe supernova. Si vous pouvez même l'appeler ainsi. Ce que nous faisons n'est pas réellement avoir un nom. Il est comme la pensée que je viens entouré par vous et quand vous retirer de moi, je reculer dans le néant.

J'essaie de ne pas constater que, pour une fois, la sueur a séché, nous avons frappé un mur, encore et encore jusqu'à ce que nous sommes battues et des saignements.

Une façon de vous, j'ai vu un homme marchant le long. De l'arrière, il aurait pu être toi. Cocky position, sa vitesse de croisière délibéré, la façon dont ses jeans accroché à lui, l'inclinaison de sa ceinture, ses belles chaussures chères et ses cheveux, la façon dont il a été un peu trop long, mais bien coupés, il amélioré sa tête et lui donnait l'air mieux que du pain frais cuit.

Il était un présage, car c'est ce que j'ai de vous, la marche de là, le silence de votre dos, vous aider à la tête haute, que vos yeux brûlent et votre coeur serre, de la colère que je cause à monter dans votre gorge.

Je parie que vous étouffe la nuit. Il me fait juste pleurer.

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6 décembre 2010

Mortier

Elle lui offre sa peau. Satiné, sans tache.

Partout où il voulait utiliser. C'était son à jouer sur.

Il hésitait, sa main va du couteau au rasoir. Pas de indécision quant à l'acte. Mais plus l'outil à utiliser.

Il ne voulait pas causer de lésions. Il était en assez de douleur.

Ses cris ne serait pas le calmer, ses larmes ne serait pas lui donner à manger. Pas cette fois.

Il voulait seulement de couper, de regarder le sang combler le vide qu'il a créé, déborder sur les bords de sa peau et lentement goutte à goutte vers le bas.

Il avait besoin de son sang pour remplir les fissures à l'intérieur de lui.

Pour l'aider à tenir ensemble, pour ralentir la décomposition.

3 décembre 2010

Promesse

Elle n'a pas entendu le faire sortir, mais elle le sentait. Le cuir utilisé à la peau une fois, oui?

Les mains liées dessus de sa tête à un tuyau de métal vieux, nu. Dans une petite pièce, à gauche de l'escalier. La machine à laver et une pile de linge qui ont besoin d'être nettoyés dans le coin, si elle pouvait tourner la tête et les voir clairement.

Elle gardait les yeux exprimés à la baisse. La peur commençait à glisser vers le haut ses chevilles, laissant les poils debout comme il se glissa haut, haut, haut. Atterrissage à la base de sa colonne vertébrale, il ballants.

«Avez-vous confiance en moi?» Et le couteau, celui qu'elle a estimé être tiré en silence sur sa gaine, a été à la nuque. Son souffle saupoudré sur son épaule droite, comme le couteau assoupli lentement d'avant en arrière. Juste la pointe, effleurant sa peau.

«Avez-vous confiance en moi?» Il a demandé à nouveau. Mouvements de son corps autour de son visage, le droit de couteau dans le creux de son cou.

Et puis, à plat, sa pulsation jugulaire en dessous.

Ses yeux flottaient fermée, il serrait un peu plus.

«Avez-vous -
»

«Oui!» Elle a crié sa réponse à.

Il embrassa ses lèvres. Appuya son front contre elle pour un bref instant.

Et couper ici là, à peine de pénétrer la peau, laissant une incision. Un peu long pouces.

Elle respirait son grand soulagement, souffle constamment entrer et sortir, par sa bouche.

Il a dirigé un doigt sur la marque de saignements, sa peur avalée.

22 novembre 2010

Lire

foi consciente est liberté.
foi émotionnel est l'esclavage.
La foi mécanique est une folie.
~
G. I. Gurdjieff ~

**
Il lui a dit de prendre le magazine avec elle. Tournez-vous vers le milieu où il a marqué. Pour obtenir dans le lit, à genoux, cul en l'air. Garder une main sur la gauche des pages ouvertes, l'autre sur la droite.

Elle a fait. Ses mouvements vers l'extérieur étaient impeccables et rapides; c'était son être intérieur qui a été maussade et de marchander.

«Lire.»

«Quoi?», Répondit-elle. Plus d'une déclaration qu'une question.

Répondit par un claquement massif de la palette en bois grand sur son cul, elle glapit et commença à lire. Elle a pu empêcher les larmes de ses yeux, mais pas sa voix.

Elle ne savait pas ce qu'elle disait, que la douleur aiguë inopinée secoué son cerveau juste un peu en retard de temps en temps. Elle a gardé sa place, si. Qui sait ce qu'il aurait fait si elle sauté quelques lignes.

Elle a lu. Les mots s'enroulent autour de la douleur.

Il nous arrêter et écouter. Attente jusqu'à ce qu'elle quitte une page pour la prochaine, puis il l'a frappée. Premières la joue gauche puis la droite. Jamais il ne perturber ou modifier la direction.

Il a retracé sa peau avec le bord de la palette, il montait et descendait au milieu de son dos, elle reposait sur la plante de ses pieds.

Une fois qu'elle a été presque fini, il a commencé à frapper de façon constante, à gauche et à droite, toutes les 10 secondes. La piqûre se tourna vers brûlure intense.

Après avoir lu le dernier mot, elle a crié son nom, son nom de naissance, pas son titre.

«Vous avez perdu le contrôle.»

«Non, Maître, je ne voulais pas ... ça fait mal tellement mal ...
»

«Répandez vos jambes plus large. Poussez le magazine de côté.
»

Elle n'a, le plus rapidement qu'elle le pouvait.

«Maintenant, résumer ce que vous venez de lire.
»

Elle n'était pas vraiment attention. Comment était-elle de trouver le point de l'article damnés, quand elle rappelle que la sensation de la palette en comprimant son cul?

Quelques secondes s'écoulent. Puis une minute.

Une piqûre de petite taille. Sur sa chatte. De la petite cravache en cuir qu'il avait fait, juste à cet effet.

Mais pas de défaillance. films d'équilibre de ses poignets, sur son appel d'offres dans les tissus exposés.

Enterrer son visage dans l'oreiller, pour étouffer ses cris, de prendre le contrôle. Il n'aimait pas son à crier et aurait son bâillon.

«Maître. Il a dit que la procrastination est un trait de l'homme et nous sommes inquiets des problèmes que nous ne sommes pas sûr que nous pouvons résoudre.»

Elle continué, drainant son réservoir mentale de chaque détail, elle se rappela. Pourtant, la culture continué, un métronome délimitant ses désirs seule.

Mais il ne s'arrête pas.

Il n'a jamais cessé jusqu'à ce qu'il soit prêt.

Ce n'est que lorsque qu'il se sentait comme les lui donnant, at-elle obtenu une explication de ses desseins.

13 octobre 2010

Cupidon

Ils ne correspondent pas. Ils ont certaines choses en commun, dans la façon dont les grenouilles et les poissons avaient besoin d'eau. Ou que les algues et les tournesols ont besoin de lumière.

Et pourtant ... pourtant ... il ne suffit pas. Une pierre d'achoppement qui ne serait pas devenu un tremplin sur lequel elle pouvait déchirer sa chair et de réparer son cœur.

Il avait besoin de la cruauté; chaude, frémissante de rage qui a soufflé le couvercle de sa marmite de temps en temps. Ce qui était fouettée, si ses yeux étaient vides ou rêveuse, pendant l'effort?

Elle a essayé. Mais il devenu un travail, à peine rempli du désir d'un travail d'amour.

Elle lui a laissé une note, sur le fixe bordées de noir, il lui donna pour la Saint Valentin. On y lisait, dans sa propre écriture cursive: «Je souhaite ardemment que vous ne trouver la fleur qui porteront magnifiques fleurs tranchants, pour vous au bout des doigts comme les perles de chapelet dont vous avez besoin dans votre culte charnel. Adieu.
»

Elle ne pouvait pas être son sadique rose, pivoine son poison. Son nectar ne pique pas sa gorge et brûler un trou éventuelle dans le gosier.

Les flèches du carquois ne frappent pas toujours les bonnes cibles, au bon moment.

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4 septembre 2010

Niché

Pas de jour, aucune. Pas au crépuscule.

Mais au fond de la nuit, quand il tourne à la soie liquide quand je m'ennuie de toi.

D'autres appartiennent à quelqu'un. Ce n'est pas ce que je désirais, d'appartenir.

Je souhaite qu'on se souvienne, a raté, cherché lorsque votre cœur se dilate et que je puisse le remplir.

Je ne vais pas vous dire mais je ne le dites à personne, de toute façon.

Mais vous savez cela, vous vous êtes senti que ma main sur votre peau, vous exhortant à comprendre.

Visible ici, sur la jambe sur le dos du canapé, une main appuyée presque oublié sur le plancher, mon corps est comme cassé que mon cœur est.

Si vous pouviez me voir, vous savez.

Une fois que je glisse dans le sommeil, les larmes viennent.

Un bordereau de quelques hors ma joue droite, à la terre sur le sol dans la salle de repos, avec rien, mais le ventilateur délicatement vrombissant, tournait, tournait.

Ils tombent, faisant un bruit mou, juste un battement après la plink des gouttes d'eau de l'air conditionné, atteignant le seuil sous ma fenêtre.

Si vous pouviez l'entendre, vous savez.

Vous le savez.

11 juillet 2010

Enregistré

Une fois que je t'ai sauvé. Vous n'avez pas demandé ou ou de savoir que j'ai fait.

Mes poumons brûlent encore du soufre. Un peu de poussière de charbon se trouve encore dans les coins de mon cerveau.

Mes efforts n'ont pas été vains. La prise en main du serpent desserré, les bobines glissé. Vous êtes marqué par votre expérience. Mais ne sommes nous pas tous?

Le temps était mince au début, mais s'épaissit entre nous. Nuageux, obscurcies. Veiling les vérités plus difficile aux yeux de nos cœurs.

J'ai sacrifié parce que j'ai aimé des parties de vous.

Alors, pas maintenant.

~ ~

Dans la clairière mémoire des pertes et des regrets, vous apparaissez.

des motivations différentes, nouvel ordre du jour. Même en conflit, le cœur agité.

La réponse à votre question vous avez quitté le dur et péniblement debout.

Vous ne pouviez pas passer le reste de la journée de travail avec mes mots à rouler dans vos oreilles, ce qui pré-éjaculatoire à fuir et à amortir l'entrejambe de vos sous-vêtements.

Comme vous venez, le tournage de votre sperme dans la stalle de salle de bain dernier de la rangée, vous mordez dans le tissu de votre maillot, pour étouffer le son. Souhaitant que c'était mon avant-bras sous la dent, au lieu de votre recouvert de tissu.

Une fois qu'elle aurait été ma peau, ce qui donne avant les dents.

Une fois que l'était alors.

Ceci est maintenant.

29 juin 2010

Corporelles

Où êtes-vous?

Pas ici la nuit, quand quelque chose me fait sursauter éveillé. Votre respiration étouffée dans les salles sombres hors le mal qui pourrait se cacher.

Esprit, pas vu mais a estimé.

Pas ici, au milieu de la journée, lorsque des voix me livre à la terre avec leurs demandes incessantes. Votre sourire tranquille est le meilleur antidote à ces barbes toxiques.

La peau, pas touché, mais présent.

Pas ici une fois de retour rose de l'aurore est brisé par le tour lent de cette Terre nous sommes liés à. La vue de votre forme, l'évolution du vide solides dans les collines visibles et les trempettes.

Sang, pas renversé, mais le blindage.

Où êtes-vous?

Où est mon signe visible de la grâce dans cette réalité finie?

Où est la vue qui reflète tout ce qui est invisible?

Laissez-moi sans la protection que vous fournissez, contre les choses plus sombres qui empiètent et le fluage par jour et la nuit.

Lave-moi et mes chambres propres, avec la sueur qui vient de votre peau.

7 juin 2010

Majesté

Il pourrait être à tout moment. Mais il est maintenant.

La marche vers moi, vous pourriez être Aeneas. Amenhotep. Constantin, Justinien, William. Pizarro. Tyrone. Peter. Leclerc.

Vous êtes brûler vives, dans la lumière du soir en baisse.

Maintenant.

Vous assumez j'ai besoin de vous vêtus de l'uniforme, votre parure.

Non.

Votre force n'est pas le tissu, les médailles, les armes que vous laissez sur la table de chevet.

Il est de votre sondage yeux, vos doigts rugueux, marqué votre cuisse.

Une fois, ils ont appelé le roi vous, sire, seigneur, en général.

Je vous appelle à moi, que je creuse mes ongles dans les épaules et le prélèvement de sang. Un besoin criant de ma victoire sur vous.

26 mai 2010

prosōidía

Certains chantent des héros. De batailles gagnées et perdues.

Je chante pour toi.

Ne me grondez de vouloir que votre peau nue.

Ne pas jeter les yeux vers le bas à l'ardeur de mon regard.

Votre humilité vagues loin mes mots, alors même que vos mains me tirer en.

C'est la beauté que vous apportez à moi de vous-même. Pas d'outils, des gags, des chaînes.

Vous me capturer, sans latex, silicone, verre ou en acier.

Dans un monde post-industriel, vous laissez tomber votre boîtier et alluma la lumière faiblissante du jour glaçure votre chair.

Les ombres de plus en plus ne cachez pas vos yeux. Ou ton désir, de plus en plus lourds entre vos jambes.

Je suis chanteur de vous.

.Venir à moi, que la nature a appelé mais nous avons amélioré.

Procès-verbal pour passer.

Avec seulement votre langue, vos cuisses et vos doigts pour les compter loin.

Temps se replie sur elle-même.

Dépouillé de tout ce que vous n'avez pas faites, mais armé de ce que vous êtes né, vous arracher la mémoire des autres.

Ceux qui ont essayé de laisser leur marque, prendre note de leur place en moi.

Mais ils ont agi sans moi.

Vous avez battu dans mes mains. Cire et à décroître, comme la Lune.

Me décimant avec seulement vous-même, de manière ceux qui se cachent derrière des outils n'a jamais pu.

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