Mmmm. Regardez-vous. Vos yeux sont brillants de l'anticipation.

Tard hier soir, on m'a appelé pour venir à vous. Pas le temps donc, mais maintenant, aujourd'hui, dans la pénombre. Je vais vous donner ce que vous avez besoin.

Tes lèvres sont douces et elles ont un goût de noix de coco et le chocolat. Je suce ta langue et du sentiment de votre souffle de votre bouche dans le mien.

D'emballer vos bras autour de moi, j'ai l'impression que votre lourds seins contre ma poitrine. Même si votre mince Haut oeillet blanc, piquer vos mamelons sont en moi. Je facilité mes mains de vos cheveux et vos mamelons cercle raide avec mes pouces.

Vous poussez votre bassin contre moi, rectification juste un peu. Je sens la chaleur qui monte à partir de votre chatte humide. Il m'appelle à moi, comme je suis dur que le roc.

Lentement, on devient somnolent avec la chaleur entre nous, comme nous embrasser, sucer et de broyage.

Je vous appuyez à nouveau sur le lit et vos jambes immédiatement partie. Votre jupe glisse vers le haut, révélant la ferraille mince de votre culotte. Je m'agenouille entre tes cuisses soyeuses, et regarder votre visage, comme je vous taquiner avec mes doigts. Si humide, le jus qui s'écoule de vous. Je vous sentez une odeur, un musc doux, s'élevant doucement.

Je dis : «déshabiller.» En quelques secondes, vous êtes nu. La lumière à travers les stores rayures sur votre peau et je suis à peu près muet de la luxure. Si doux, si lisse.

Débouclage de mon pantalon, déchirant ma chemise, je me sens le ventilateur fouet la brise passé mon corps. Allongé là, vous vous mordre les lèvres et vos yeux sont vitrées.

Je sais que vous besoin de ma bite au fond de vous, et je ne vous quitterai pas d'attente. Saisissant vos chevilles, je lève les jambes et une partie eux, donc je ne peux regarder mon diapo bite en vous.

A coulé lentement, lentement ... oh chaud, serré et humide. Encasing moi tout le chemin jusqu'à la garde.
Je n'irais pas ... Je ne pense pas à vous. Je pense à ce qu'on ressent.

Je pars en automatique, comme je prends un rythme régulier. Mes couilles, si fort et plein, sont gifles contre vos l'oignon rondes.

Zut ... je dois ralentir. Trop tôt, trop tôt. Pas encore ...

Je focalise mon attention sur votre clito. La répartition de vos lèvres avec une main et d'utiliser mes deux doigts sur votre clito-le rouler, il pichenette, en appuyant vers le bas et enfin, une rotation de pulsation régulière de mon pouce. Je sens que vous le tronçonnage, le resserrement gaine, se rapproche. Vous êtes si proches ... laisser.

Brasquage chaque pouce dans votre chatte a faim, des balles en profondeur, je travaille votre clito comme ma vie en dépend. Je me sens un peu tremblante, comme je suis retient.

Avec un cri perçant fort, vous tomber dans le précipice et c'est ce que je dois retourner à mon Nirvana personnelles.

Comme vous le flottement autour de moi, tu jouis, vos muscles se contracter et cupide, je slam et arrière.

Je la sens venir sur ... la sueur a éclaté sur moi, coule dans mon dos .... la douleur dans mes couilles s'est propagé à mes épaules ... l'envie de libération est ce choc électrisant qui voyage de ma colonne vertébrale et piquant mon cerveau.

Je n'y peux rien, mais respirer, bouger et d'attendre. Votre chatte est la seule chose que les ancres moi de ce monde.

Jusqu'à ce que ....

... Il frappe.

Mes yeux sont vissés fermée, je suis haletant et mon cerveau est aplatie par la force de dévaler le sperme de mon noix. Je l'ai baissé dans mes cuisses, mon ventre et ma gorge ... ce n'est pas seulement je jouis ... il est d'arriver à cet endroit où je cesser d'être et rien n'existe mais la sensation de vidange.

Comme le Vésuve, je n'ai plus rien.

Je tombe sur votre poitrine, et je reste là. Contre vous, si doux, je me sens du scrutin, des morceaux se rassembler, de les endroits que j'ai essaimé dans l'Univers.

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