Coupes (deaux)

Curieux, je vous montre. Le chant, la combustion, l'offre, plaidoirie.

Une interaction je ne partage pas. Il m'est pénible de vous partagez.

Vous ouvrez votre cœur et votre esprit à eux, mise à nu de votre besoin. Vous jetez votre amour à leurs pieds comme des runes sur la glace.

Vous êtes en leur offrant des choses que je veux.

Ces choses sont exemplaire à donner, pas à moi de prendre.

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Vous me dites, une fois que vous avez baigné et revenir au monde présent, que ce n'est pas mon boulot de donner. J'étais faite pour recevoir. Tu.

Je cache mon regard, mais mon visage trahit ma pensée. Mobile de près, vous la coupe de l'arrière de ma tête et appuyez sur vos lèvres à mon menton. Ensuite, mes lèvres, et puis mes yeux.

Bout de vos doigts brosse un chemin le long de ma mâchoire, dans ma gorge et de mes mamelons, que vous pincer. Vous n'êtes pas prêt pour vous, je râle à la douleur.

Vous ne vous arrêtez pas. Je suis à céder, à recevoir, d'être rempli.

Votre tendresse n'est pas avec nous maintenant, dans votre lit.

Vous avez donné que, aussi bien.

Ils peuvent vous résister, se détournent de vous. Je ne peux pas.

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J'essaie de regarder ailleurs, de tourner mon regard vers l'intérieur. Vous tenez mon visage à deux mains et dites-le une seule fois « Regarde-moi. »

Pour me rappeler d'atténuer, de prendre, vous mélangez la douleur avec plaisir.

Décubitus dorsal, la pression constante et la torsion de mes mamelons offres est mêlé à vos doux baisers. La bosse rythmique de votre bite contre mon clito glissante me pousse vers la joie, alors que les difficultés croissantes sur les dents sur ma poitrine, me tire de là.

Donner que vous pour moi.

Ensuite, vous placez les mains, d'étendre mes lèvres de sa chatte ouverte. Vos yeux vont de là, à mon visage et tu dis: Montre-moi la perle du monde».

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Un rituel joué dans de nombreux endroits, en plusieurs siècles.

La lame s'enfonce dans le calice. Vin et d'eau sont déversées dans la tasse de cérémonie pour être reçu par les fidèles. Une flamme est allumée et graver avec les confins courbes de métal.

Vous entrez et de retraite, encore et encore, que je frotte mon clito avec fureur. Pour faire comme vous avez demandé.

Les mots me manquent, et je me bats pour garder mes yeux sur toi, la lutte se laisser aller, se battre pour obéir.

J'accepte les spasmes, la longueur d'entre vous, le flot de votre libération.

Je suis votre coupe du salut et de votre autel.

Que je donne à vous.

Les lueurs de perles, comme vous le caresser doucement et je commence à pleurer. Cédant larmes de mes yeux et ma chatte.

Vous placez votre main gauche sur la poitrine et le sens mon cœur bondir dans votre main.

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Je suis séduit par les histoires des dieux et des géants. Dans mes rêves, je chasse et de chasse.