Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Métamorphoser
Archives
25 janvier 2010

Bâtons [une]

Je ne crois pas dans les choses que vous me dites sont réelles. J'espère que ce que je peux voir, goûter, toucher, sentir, l'odorat.

Je vois tes yeux, le torchage vives, quand je dépose ma serviette à entrer dans la douche.

Ainsi, elles-tes yeux, ma peau, l'eau chaude sont réels.

Ainsi que le goût d'oranges toujours accroché à vos lèvres dans la matinée. La sensation de votre main, comme vous de remonter l'arrière de mon jeans et yank-moi de vous, pour diffuser votre tension après avoir été passé avec répondeur de mon téléphone pendant trois jours. Ce qui est réel.

Vous, poussant mes jambes ouvertes jusqu'à ce qu'elle fait mal, qui est tangible. L'odeur de votre sperme dans ma culotte, quand je les enlève pour les nettoyer, c'est une réalité, je ne peux pas nier.

Vous n'avez pas honte de vos opinions, votre attachement à la mystique de manière rationnelle, monde ordonné.

Vous y croire, Il doit être réel.

Encens allumé, a déposé des fleurs juste ainsi, vos mots la bonne offre pour vos divinités.

~ ~ ~

Lorsque vous en s'éloignant, je me tenais là. D'attente. Ne pas être vu comme un intrus, mais de se sentir encore une petite partie de la puissance que faire un pas dans, qui coule de vos chevilles comme l'eau.

L'eau est humide, laisse une tache, de l'humidité. Absence de tels éléments sur vous.

Je pense seulement que la puissance grâce à votre volonté.

Votre détermination à me baiser si fort que, longtemps après le moment est passé, chaque pas que je fais écho à la douleur. L'aiguillon de la miction, comme je l'ai délicatement angle par rapport à moi-même et ne parviennent pas à soulager une grimace de la sensation. Offres combinées abrasée chatte de pisse chaude.

Je me sens, donc elle Doit être réel.

L'eau coule, des bains de savon loin. Tordre ma culotte rouge, les accrocher à sécher sur la douche ferroviaire.

~ ~ ~

Marcher doucement passé, je n'appelle pas attention à moi, comme vous vous concentrez sur votre culte.

Je me suis glissée dans votre lit, à attendre, à rêver, à faire semblant que vous me adoré. Mais prétendent seulement, car je ne peux pas supporter étant plus que je suis.

Ils ont l'âme. Votre corps se retourne vers moi.

En tant que descendant de Zeus, je suis votre Léda, Io, Sémélé, Niobé.

Je voulais être Mnémosyne. Étroits avec vous, fort sans vous. Mais ma chair même trahit ma volonté et s'enfuit de chez vous.

Tout ce que je sais de bâtons, baguettes, tiges, est celui que vous exercer.

Persistante, souvent à peu près, tu me commande. Pousser, damage, de coups de couteau, plongeant.

J'ai le sentiment que vous. Vous devez être réel.

Vous appelez mon nom quand vous viendrez. Cela me fait réel, me fait vrai.

~ ~ ~

Je ferme les yeux quand nous avons fini et rêver de ce que ça doit être pour être votre Dieu.

Publicité
Commentaires
Métamorphoser
Publicité
Derniers commentaires
Newsletter
Publicité