Épées {trois}

L'air est froid. Votre voix flotteurs à travers elle, à mes oreilles.

Vous voulez que je sorte, dans la nuit de velours.

Dessin d'un souffle régulier, je vous rejoindre. La fumée des cierges allumés se bloque juste au-dessus de nos têtes.

Cheveux dénoués, nue comme vous étiez dans la matrice, vous me motion de s'arrêter et de rester immobile.

Vous cherchez ce que je n'ai pas.

Ma bouche a le goût de la chair des animaux morts et de la moelle osseuse doux.

***

Quel usage suis-je pour vous? Mon scepticisme est tourbillonnant hors de ma poitrine, les vrilles pour atteindre votre cœur.

Doucement, tu me dire d'enlever mes vêtements, mais de maintenir mes distances avec vous.

Le vent fait des fermetures éclair de ma peau; bosses chill clignotant et à travers.

Vous cherchez ce que je ne vois pas.

Je ferme les yeux à tomber dans le rythme de vos paroles. Mais je flotte juste au-dessus du ruisseau.

***

Vous arrivez à la fin, la voix monte et descend comme une marée.

La bougie dans votre main est éteinte et soigneusement mis sur la pierre à vos pieds.

La vapeur augmente subtilement de votre peau, la sueur s'évapore pour rejoindre les miasmes éternelle.

Vous cherchez ce que je n'entends pas.

Vous cassez votre cercle et retombent sur moi, l'herbe piquant le fond de mes pieds.

***

Votre langue est dure et insistante. Vous pincer les doigts et se tordent.

Vous demandez si Je t'aime.

Je réponds en enveloppant ta bite dans ma bouche avide.

Vous cherchez ce que je ne veux pas.

Votre coupon de vos doigts et sortir de ma chatte, pour correspondre à la vitesse de mon aspiration.

***

Je te pousse en avant. Secouant avec énergie tirée, vous expulser et de remplir ma gorge.

Votre cri de libération frappe l'air, comme des corbeaux sur une journée nuageuse.

A l'intérieur, vous êtes vides, lavés. Un navire de bon à offrir adoration.

Vous cherchez ce que je n'ai pas besoin.

Je suis arrivé avec vous et avec une nostalgie amère de faire partie de vous.

***

Vous pénétrez et coupez-moi, oubliant les blessures que je porte.

Vous avez besoin de ce que je n'ai pas.

***

Mes rêves sont vives, soudaines. Je marche à travers un champ de fleurs écloses. Certains sont sans feuilles, d'autres sans ampoules.